Il y a 130 ans déjà la ville de St Gervais avait subit une rupture d’une poche d’eau sous le glacier entraînant la mort d’une grande partie de la population. Depuis le glacier est sous surveillance d’autant que le réchauffement climatique accroît considérablement les risques.
En 2009, déjà la formation de nouvelles poches d’eau intraglaciaires avait été mise en évidence, aboutissant à des opérations de pompage plusieurs années successives, et à la mise en place d’un système de contrôle par câbles de possibles mouvements du glacier, de sirènes d’alarme et d’un plan d’évacuation d’urgence.Depuis 2010 les mesures de prévention ont déjà coûté 1,2 million d’euros à Saint-Gervais (l’Etat finançant les 80 % restants) et pourtant la vigilance s’impose suite à ce nouveau constat.
La préfecture a de son côté indiqué qu’elle restait vigilante : « Les dernières mesures ne montrent rien de plus inquiétant que par le passé, a indiqué le sous-préfet de Bonneville.