De façon nouvelle, 2 experts suisses du FILB( bibl.org) associent dans cette nouvelle étude l’ensemble des critères qualité, constituants, aspect sanitaire et sociaux pour comparer bio et non bio.
Les études précédentes( méta-analyses) consacrées au bio et non bio mettaient l’accent sur les aspects minéraux, vitamines, antioxydants, ou résidus chimiques, celle ci apporte son originalité par la durabilité de ce type de production en bio : éco et sociaux bilans englobant cultures, process de cultures, emballages, transports, consommation énergétique pour la production.
Autant d’approches auxquelles le consommateur est de plus en plus attentif, que nous devons relever dans ce contexte où les fermes se font rares avec une baisse des effectifs de 20 % entre 2000 et 2010. Redonner du sens à ces agriculteurs qui sont ou vont s’orienter pour des reconversions en bio pour laquelle la demande s’accélère en cohérence complète avec la transition écologique et le défi climatique à relever.
Et pour preuve le marché mondial des produits bio qui a atteint en effet 50,5 Milliards d’euros multipliant par 4 son poids en 10 ans selon l’IFOAM.
On peut donc clairement parler d’orientation d’avenir que d’apporter son soutien à ce type de production dans un contexte de changement de comportements nécessaires pour le profit de tous.
Vous pouvez d’ailleurs contribuer à la méta analyse mondiale Nutrinet, déjà entamée depuis 2013, toujours à la recherche de témoins pour avancer dans la réflexion du rapport alimentation et santé et l’incidence sur les maladies chroniques.
Pour s ‘inscrire:http://bionutrinet.etude-nutrinet-sante.fr