Notre association partenaire Générations futures publie une enquête sur des résidus d’insecticides toxiques présents dans des fraises d’origine tant françaises qu’espagnoles qui ne vont que conforter notre travail de sensibilisation sur les perturbateurs endocriniens.
Les résultats préoccupants de notre enquête montrent la nécessité d’adopter une stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens ambitieuse.
Résultats de nombreux PE. Sur 49 échantillons analysés, 91,83% contenaient un ou des résidus de pesticides et au total, 71,42% des échantillons contenaient des pesticides PE ! (35/49)
– 65,38% des échantillons français ont au moins un résidu de pesticide PE (17 /26)
– 78,26% des échantillons espagnols ont au moins un résidu de pesticide PE (18 /23)
De même, nous avons retrouvé en tout 37 molécules différentes dont 8 Perturbateurs endocriniens différents (chlorpyriphos-ethyl, endosulfan, flutriafol, iprodione, myclobutanil, penconazole, pirimicarb, triadimenol).
Des produits interdits. Ces analyses ont également révélé la présence de résidus de pesticides interdits ou interdits d’usage sur la fraise dans les pays de production (France ou Espagne).
Plus de détails dans le communiqué ci-joint ou en ligne
Téléchargez le rapport complet sur Générations Futures – Enquête EXPPERT 2 : Des pesticides interdits et des Perturbateurs Endocriniens (PE) dans des fraises.