L’hypersensibilité électromagnétique (EHS), également appelée intolérance environnementale idiopathique attribuée aux champs électromagnétiques (IEI-EMF), est une condition définie par l’attribution de divers symptômes non spécifiques à l’exposition à des champs électromagnétiques d’origine humaine.
Les recherches et les publications d’une douzaine de scientifiques, venant de toute l’Europe, ont été présentées suivies d’un débat sur les options politiques. Une grande partie de la controverse scientifique et médicale sur la causalité de l’EHS réside dans l’absence de critères cliniques et biologiques reconnus pour le diagnostic. Les hypothèses explicatives vont de l’effet psychologique « nocebo » à la sensibilité individuelle, les réponses individuelles aux CEM dépendant des propriétés génétiques et épigénétiques de chacun. D’autres experts universitaires préconisent d’envisager une « déficience fonctionnelle » ou un syndrome neurologique, ou encore des systèmes de désintoxication perturbés par le stress qui sont saturés par un stress oxydatif excessif.
Quelles options de santé publique et de politique inclusive peuvent être privilégiées pour soutenir les personnes EHS et améliorer leur qualité de vie ?
Un lien peut vous permettre de revoir ces échanges variés et structurés : https://youtu.be/_NcIgFPQ