Ce médicament réapprouvé en septembre 2017 et utilisé par plus de 3 millions de personnes en France pour stabiliser leur taux de TSH, une hormone qui stimule la thyroïde.
Quatre ans plus tard, un rapport d’experts conclue que la nouvelle formule du médicament, (après retrait de l’ utilisation de sa première formulation suite à des effets secondaires notoires ) fabriqué par le laboratoire Merck, avait été approuvé par l’Agence Nationale de Sécurité et du Médicament (ANSM) qui était consciente qu’elle (la nouvelle formule) était très différente de la première et que donc elle comportait des risques pour les consommateurs.
Le médicament finira par provoquer des milliers d’effets secondaires en France. Pourtant, au tout début de sa commercialisation, les autorités sanitaires, indiquaient qu’il ne représentait aucune menace pour la santé des millions de consommateurs. La nouvelle formule est même beaucoup plus stable que la précédente”, disait Agnès Buzyn, à l’époque ministre de la santé, en septembre 2017.
“Une nouvelle action collective va être lancée mardi 14 septembre en France dans le dossier du Levothyrox, a appris franceinfo auprès de maître Christophe Lèguevaques, un des avocats qui en est à l’initiative. Cette fois, elle vise l’Agence Nationale de la Sûreté du Médicament (ANSM)”