Nous reprenons leur communiqué :
Depuis plus de vingt ans, des gouvernements, la Commission européenne, des agences nationales, des scientifiques internationaux et à leur suite de nombreux médias, ont sciemment induit en erreur des milliards d’utilisateurs de téléphones portables sur les risques sanitaires liés à un pseudo-facteur de sécurité de 50 entourant la mesure des débits d’absorption spécifiques (DAS) locaux (tête, tronc et membres).
C’est ainsi que l’ensemble des instances internationales ou presque a laissé croire que les effets thermiques des ondes mesurés lors des contrôles de DAS étaient soumis, selon les recommandations de la Commission internationale pour la protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP), à un facteur de protection de la santé des populations de 50. Laissant faussement à considérer qu’on pouvait atteindre, sans risques, des niveaux de DAS locaux jusqu’à 100 W/kg, soit le niveau de la norme européenne de 2W/kg multiplié par 50.
La vérité sur cette tromperie d’ampleur mondiale a été révélée lors du webinaire consacré à la 5G, organisé par l’euro députée française, Michèle Rivasi le 7 décembre 2020, au Parlement européen. C’est à cette occasion que le Vice-président de l’ICNIRP, Eric Van Rongen a confirmé lors d’un échange écrit par chat aux questions posées par le Dr Marc Arazi: quiconque affirme qu’un facteur de réduction de 50 s’applique aux expositions locales interprète manifestement mal les lignes directrices, bien que celles de 1998 n’aient peut-être pas été très claires à cet égard ; celles de 2020 fournissent des informations plus claires »