Selon les laboratoires de l’INSERM, unité 955 et du CNRS EAC 7059 de l’université de Paris, il a été mis en évidence les mécanismes responsables de réponses inflammatoires et de stres oxydant concernant les nanoparticules de noir de carbone, d’oxyde de titane par des détections en microscopie et cytométrie de flux. Il en résulte une action inflammatoire des cellules exposées à ces nanoparticules qui implique une poursuite de la toxicité au delà de l’exposition.
Source : programme NANOTOX.