L’accident nucléaire survenu en mars 2011 est passé aujourd’hui à un état de crise chronique avec des fuites radioactives récurrentes. Alors que la contamination présente encore des risques sanitaires importants dans de vastes territoires, la politique de retour décidée par le gouvernement japonais avec la fin de l’aide publique auprès des évacués bouleverse la situation des sinistrés. Sept ans après, les victimes de l’accident glissent dans l’oubli.
Dans cette circonstance, trois mères accompagnées de cinq enfants se rendent à Genève le 16 mars pour lancer un appel en faveur des droits de réfugiés nucléaires auprès de la Commission des Droits de l’Homme de l’ONU. Elles iront ensuite témoigner dans différents lieux en Rhône-Alpes dont la Bibliothèque Centre-Ville de Grenoble qui sera leur première étape, puis à Valence le lundi et mardi à Lyon.
Dans cette circonstance, trois mères accompagnées de cinq enfants se rendent à Genève le 16 mars pour lancer un appel en faveur des droits de réfugiés nucléaires auprès de la Commission des Droits de l’Homme de l’ONU. Elles iront ensuite témoigner dans différents lieux en Rhône-Alpes dont la Bibliothèque Centre-Ville de Grenoble qui sera leur première étape, puis à Valence le lundi et mardi à Lyon.