Les associations lancent cet appel à l’occasion de la journée internationale des maladies environnementales le 12 mai. Dans leur communiqué, les associations démontrent que l’État « ne joue pas son rôle de protection en matière de santé publique » mais au contraire « encourage (…) le passage en force sur la 5G par exemple, attribue (des distances dérogatoires des épandages de pesticides proches des habitations, mais aussi la lenteur et l’inaction quant à la pollution de l’air», énumèrent-elles.
Elles voudraient une assurance ferme quant à la prise en charge de mesures de préventions pour ces pathologies qui augmentent comme les hypersensibilités chimique et électromagnétique, compte tenu des dispositifs de déploiement de molécules chimiques toxiques, comme des déploiements exorbitants des fréquences de la téléphonie mobile.
Les signataires appellent à « un engagement » des politiques en vue des échéances électorales prochaines.
Le courrier aux force politiques : ici
Le Manifeste “Nous voulons la prise en charge des hypersensibilités chimique et électromagnétique” : ici
Le dossier de presse : ici