En effet les divers organismes en charge de mesures ne s’accordent pas.
Notre partenaire la CRIIRAD avait depuis fin septembre demandé des éclaircissements aux autorités nationales et mondiales sans avoir eu beaucoup d’informations probantes: elle a renouvelé la semaine dernière des demandes d’informations complémentaires à l’OMS, à L’EIEA sans réponses pour l’instant.
Cet article complète celui précédemment posté du 9 novembre 2017.
Détection de ruthénium 106 dans l’atmosphère en Europe avéré début Octobre
En date du 5 octobre : »Les organismes de surveillance de la radioactivité en Europe insistent sur l’absence de risques. Effectivement, si cette contamination reste limitée dans le temps, les doses subies par inhalation du ruthénium 106 à des concentrations de quelques mBq/m3 peuvent être considérées comme négligeables.
Il est cependant important que l’origine de ces rejets de ruthénium 106 soit recherchée. De ce point de vue l’absence d’information est inquiétante. Si l’installation à l’origine des rejets n’en est pas consciente, elle n’a pas pu mettre en place de mesures de radioprotection alors que les doses subies par les riverains ou les travailleurs concernés pourraient ne pas être négligeables. S’il s’agit de dissimulation, la situation est encore plus problématique.
Voir le communiqué de la Criirad du 5 Octobre: ici
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